Toutes les bonnes choses ont une fin dit-on. Les vacances touchent donc à leur terme, avec 3 semaines de soleil, de retour dans ma Normandie natale et de dépaysement dans les Alpes. Et tout ça, bah ça fait du bien au moral et à ma peau qui est revenue un peu plus colorée que la normale (et je vous garantis qu’avec ma peau de rousse, ce n’était pas gagné).
Pour les vacances, Thomas a réussi à me dénicher le fameux monoï 1000 fleurs d’Hei Poa, cette huile de coco en édition limitée, sachant que je n’avais pas réussi à la trouver sur Lille (ou alors, j’suis vraiment vraiment bigleuse). Avant toute chose, il faut savoir que je n’aime pas l’odeur du monoï (ne me demandez pas pourquoi, je ne le sais pas moi-même !), donc je prenais un mini-risque en achetant le 1000 fleurs de laisser la bouteille sur les bords du lac du Bourget. Mais en fait, je l’ai ramené dans le Nord.
Un monoï aux 1000 fleurs !
Le monoï 1000 fleurs d’Hei Poa n’a pas l’odeur des autres monoï que j’ai pu sentir, odeur dont je ne raffole pas particulièrement. Non, celui-là possède une odeur délicatement fleurie, grâce à la macération de 1000 fleurs dans un litre d’huile de coco. 1000 fleurs, ça fait 200 fleurs de Tiaré, 200 de Frangipanier, 200 de Lotus, 200 d’Hibiscus, 100 fleurs de Kau Pe et 100 de Ylang-Ylang. Et ce mélange sent divinement bon, contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’odeur n’est pas forte, ni entêtante (ce que je reproche au monoï généralement).
Sur la peau, ça donne quoi ?
Il faut savoir que le monoï hydrate, nourrit et protège la peau mais n’est en aucun cas une barrière contre les rayons ultraviolets. Je l’ai surtout mis en après-soleil, sur ma peau un peu bronzée. L’odeur tient un bon bout de temps, la peau est nourrie mais reste quand même un peu huileuse. La peau est souple et le bronzage sublimé. Je ne l’ai pas essayé sur les cheveux par contre, je pense y remédier assez rapidement.
Le seul bémol de ce monoï reste le flacon, une bouteille en verre dont le goulot est grand. Résultat : il m’est arrivé plusieurs fois de mal doser le monoï, d’en avoir une trop grande quantité dans les mains et d’en avoir soit perdu, soit en avoir mis trop sur le corps.
Je suis donc plus que conquise par ce monoï, qui me rappellera bien les vacances, le lac du Bourget, les montagnes, les randonnées, les barbecues, le badminton, le rosé et le soleil quand je le mettrai sur ma peau dans les mois à venir.
Si vous voulez en savoir plus sur le monoï, je vous invite à lire l’article de Thomas (qui est un grave passionné de cette huile) sur Testons.com : le monoï : une odeur de soleil !
Cela fait quelques temps que j’ai envie de partager avec vous ma routine soins du visage, que j’utilise depuis quelques mois maintenant et à laquelle j’ai inséré quelques nouveautés. On
Hanlala l’odeur fait envie aussi <3
Je serai curieuse de sentir cette huile, moi qui raffole du Monoi ! Bisous et j’ai bien lu ton commentaire sur ma page 🙂 ne te tracasse pas, prend ton temps ! Bisous